Dominique ROCHETEAU

tout sur l'amblématique DOMINIQUE ROCHETEAU , maintenant "conseiller" de l'asse.

massoudu42 a écrit:tout sur l'amblématique DOMINIQUE ROCHETEAU , maintenant "conseiller" de l'asse.

"Emblématique" ;)

oui désolé :)

Rocheteau lance un appel aux supporters stéphanois !

http://www.asse.fr/index.php?page=detail_actu&id=7354

Il est marrant lui, il croit que les gens vont aller au match pour lui !

en effet si sainté jouait sa serai plus simple

Très bonne initiative je trouve !
Les gens ne se rendent pas compte qu'on a la possibilité de jouer la Coupe d'Europe en fin de saison !

On voit qu'il paye pas les places et tous ce qui va avec...

Il a retrouvé la parole ?

rob42 a écrit:On voit qu'il paye pas les places et tous ce qui va avec...

je confirme à la buvette un supporteur moyen claque 10e + 35 de place + 10e pour l'écharpe + essence sa fait vite des ronds

Florian 42 a écrit:

rob42 a écrit:On voit qu'il paye pas les places et tous ce qui va avec...

je confirme à la buvette un supporteur moyen claque 10e + 35 de place + 10e pour l'écharpe + essence sa fait vite des ronds

T'achètes quand même pas une écharpe à chaque match :lol:
Et puis 35 euros la place :shock: La plus cher est à 30 euros contre Monaco il me semble.

Et en kop c'est 10 euros je crois ;)

non mais c'est une moyenne lorsque tu prend les match contre lyon en HP inférieur tu es plus près des 60e que des 30

Moi je trouve ça bien qu'un personnage Emblematique et membre de la direction du club prenne la parole et mobilise les supporter après je ne suis pas sure que ça va porter ses fruit.

D'accord avec toi fredoso c'est bien qu'il nous "mobilise"

Si dimanche le stade est plein grâce à lui, il faut tout de suite le mettre au grillage avec un mégaphone en kop sud pour qu'il nous motive tous ceux qui chante pas :lol!:

Florian 42 a écrit:non mais c'est une moyenne lorsque tu prend les match contre lyon en HP inférieur tu es plus près des 60e que des 30

Ok mais c'est vraiment rare les places si chères ! Sinon je suis d'accord que les déplacements toutes les 2 semaines pour ceux qui viennent de loin reviennent chers ;)

rob42 a écrit:Si dimanche le stade est plein grâce à lui, il faut tout de suite le mettre au grillage avec un mégaphone en kop sud pour qu'il nous motive tous ceux qui chante pas :lol!:

J'imagine bien Rocheteau sur les grilles

Rocheteau sur la sellette à l'ASSE ?


Selon le Parisien, l’AS Saint-Etienne s’est mise en quête d’un conseiller sportif qui ferait double emploi avec Dominique Rocheteau. Ce dernier a du mal à comprendre sa fonction, estimant être uniquement chez les Verts pour jouer les représentants de luxe, sans vraies attributions. Mais l’ancien joueur vedette de Geoffroy-Guichard a aussi quelques détracteurs qui estiment qu’il n’est pas fait pour un poste où il touche un salaire conséquent. Stéphane Tessier tient cependant à calmer le jeu. « Nous nous parlons plusieurs fois par jour au téléphone et il suit de près tous les dossiers. Cela nous fait énormément de bien d’avoir sa vision extérieure, avec moins de précipitation et d’exaltation », explique le membre du directoire, histoire de justifier le rôle de Dominique Rocheteau.


http://www.foot01.com/equipe/st-etienne/rocheteau-sur-la-sellette-a-l-asse,74061

Il a du mal à comprendre sa fonction..
putain on croit rever .. en revanche les 15000 euros par mois qu'il empoche ça il sait ce que c'est..

vertlabas a écrit:Il a du mal à comprendre sa fonction..
putain on croit rever .. en revanche les 15000 euros par mois qu'il empoche ça il sait ce que c'est..

http://www.madeinfoot.com/infos/article-asse-rocheteau-fait-le-bilan-12251.html
ASSE - Rocheteau fait le bilan

Rocheteau serein
Publié le : 15 Juillet 11h15 Agrandir l'image Agrandir l'image
Le membre du directoire de l'AS Saint-Etienne, Dominique Rocheteau, est revenu, aux micros de RMC, sur les mouvements prévus en coulisses dans le Forez. L'Ange Vert n'a évité aucun sujet. L'arrivée de Ruffier, quid de Jérémy Janot et Jessy Moulin, le possible départ de son joueur, Blaise Matuidi. S'il assure que les dirigeants travaillent bien sur ces différents cas, une chose est sûre, il faudra dégraisser avant de se renforcer.

« Avec Ruffier, c'était une opportunité. Au mois de juin, on avait décidé de repartir avec nos gardiens dont Jérémie. Monaco est descendu en Ligue 2, tous les clubs français avaient leur gardien de but donc on n’avait pas trop de concurrence. Ruffier est, pour moi, l’un des meilleurs gardiens français. C’est une belle opportunité pour le club et pour le joueur parce qu’il aspire à l’équipe de France. C’est une belle progression pour lui. On a quatre gardiens. On va se réunir demain avec le président (Roland Romeyer) et avec Christophe (Galtier) pour prendre des décisions. Jérémy Janot est en période de réflexion, Jessy Moulin également. Qui va partir ? Qui va être prêté ? On a une réunion demain. Le gardien numéro 1, c'est Stéphane Ruffier. »

« On n’aura aucun problème avec Blaise. Il a rendu beaucoup de services au club. Il a une porte de sortie, il faut que tout le monde s'y retrouve : le joueur et le club. Pour l’instant, ça n’a pas vraiment bougé. S'il reste, on sera très content parce que c’est un très bon joueur. S'il doit partir, on a déjà prévu et on s’est penché sur le problème. On attend. Il est fort possible que Blaise puisse partir dès cette saison dans un grand club européen. Sa clause est entre 13 et 15 millions, c'est beaucoup d'argent. »

« On n’a pas trop dégraissé pour le moment. Avec les joueurs, on va faire un stage dans les Alpes. Trois nouveaux joueurs sont arrivés : Paulao, Ruffier et Sinama-Pongolle. Il y aura d’autres arrivées mais dans l’immédiat, notre priorité concerne les départs de joueurs. 30 joueurs dans l'effectif, c'est beaucoup trop et des charges importantes. Avec Christophe (Galtier), on communique beaucoup, c'est lui qui décide en dernier ressort mais on discute beaucoup. Si Blaise Matuidi vient à partir, ça changerait les données. »

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Longue interview de Rocheteau !

La saison écoulée

Dominique, à titre personnel, comment s’est passée cette première saison à l’ASSE ?
Ce retour à l’ASSE fut, pour moi, une première expérience en tant que dirigeant d’un club. A travers ce nouveau rôle, j’ai ainsi retrouvé la compétition de haut niveau et ce qu’elle engendre au sein d’un groupe et au cours d’un match : la pression, les joies parfois la déception. Ce fut une saison très intense, très positive dans son ensemble.

Justement, qu’est-ce qui vous a plu ?
J’attache beaucoup d’importance aux relations humaines. J’ai aimé la solidarité dont nous avons fait preuve au niveau de la direction du club. Parfois, comme dans tout groupe, il y a eu des débats, des divergences mais nous avons toujours su trancher dans le même sens afin de toujours converger vers un objectif commun. J’aime le partage et l’échange. Je n’aime pas qu’une seule personne décide.

Beaucoup s’interrogent sur les relations entre Roland ROMEYER, président du Directoire et Bernard CAÏAZZO, président du Conseil de Surveillance. Pouvez-nous nous éclairer ?
Ils sont, tous deux, très « actifs » que ce soit Roland ROMEYER au quotidien au centre de l’Etrat ou Bernard CAIAZZO qui défend les intérêts du club auprès des instances et via ses relations publiques. Ils s’investissent énormément et commandent la politique du club. Contrairement à ce qui a pu être dit, ils forment une unité. Tout au long de cette saison, j’ai beaucoup apprécié cette association. µJ’ai découvert des hommes qui étaient à la fois dans l’écoute et le dialogue.

Quels enseignements avez-vous tiré ?
Le sportif ne peut se développer de manière cohérente et efficace que si l’organisation générale du club fonctionne en adéquation avec les objectifs sportifs. C’est pour cette raison qu’il faut que le positionnement de chacun soit bien défini.

Justement, quel est votre positionnement par rapport à la direction ?
Ma situation a évolué progressivement. Il y a un an, j’ai rejoint l’ASSE au sein de son Conseil de Surveillance en tant que vice-président. J’avais un rôle de conseiller du club, orienté vers la surveillance. Ensuite, j’ai intégré le Directoire et ainsi assumé davantage de responsabilités. Je suis donc aujourd’hui plus dans l’action. C’est donc fondamentalement différent par rapport à ma situation initiale.

Après le départ de Damien COMOLLI, on vous a parfois donné l’étiquette de nouveau directeur sportif ?
C’est faux. Je ne suis pas directeur sportif et je ne le revendique pas. J’ai la fonction de dirigeant. Cela implique donc que j’ai une vue sur l’ensemble du club, et non pas uniquement sur le sportif. Pour revenir sur le départ de Damien COMOLLI, il n’a pas été complètement compensé. Thierry LAUREY a rejoint le club avec en charge la supervision. Nous réfléchissons à l’arrivée d’un coordonnateur sportif qui ferait le lien entre le groupe pro, la post-formation et la formation.

Certains ont mis en cause votre emploi du temps, critiqué votre investissement à l’ASSE par rapport à vos autres activités?
Il y aura toujours des détracteurs car l’ASSE suscite beaucoup de passion mais également de jalousies. C’est le cas également dans un club comme l’OM. Concernant mes autres activités, je les ai mises en sommeil au profit de mon investissement à l’ASSE. Même si je ne suis pas présent physiquement tous les jours à l’Etrat, l’ASSE mobilise tout mon temps et toute mon énergie. Pendant la semaine, je suis souvent en rendez-vous sur Paris pour représenter le club. Mon rôle est également d’être le garant de l’image du club. C’est pour cette raison que je m’investis également dans les relations publiques. J’ai également suivi tous les rencontres des Verts. L’ASSE mérite un travail à plein temps. J’ai uniquement gardé mon académie basée au Viêt Nam, ce qui pourrait peut-être utile un jour à l’ASSE.

Quelles sont vos relations avec Christophe GALTIER ?
C’est très clair : le sportif appartient à l’entraîneur et son staff. Avec Christophe, nous échangeons régulièrement. J’apporte mon expérience. Christophe est également dans le partage, dans l’écoute, mais, c’est toujours l’entraîneur qui dirige son équipe. C’est donc lui qui décide du sportif. Nous avons fait signer un contrat longue durée à Christophe (trois ans et demi en décembre dernier). Il a beaucoup de qualités et de capacités. On lui fait confiance.

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Le mercato

Dominique, quelles priorités vous êtes-vous fixés en matière de recrutement, cette saison ?
Un recrutement est toujours lié à la situation financière. Compte tenu d’un déficit lié aux erreurs de 2009, nous étions dans l’obligation de vendre. La vente programmée de Dimitri (PAYET) a, d’ailleurs, permis d’équilibrer les comptes. Nous avons recruté malins et misé sur la motivation des joueurs sollicités. On préfèrera toujours un joueur qui privilégie l’aspect sportif à l’aspect financier. On compte sur Florent SINAMA-PONGOLLE, considéré comme le meilleur espoir du football français, pour qu’il réussisse en France. Jérémy CLEMENT et JEAN-PASCAL MIGNOT sont des valeurs sûres de notre championnat. Concernant PAULAO, nous avons suivi de près ses performances. On le connait donc bien. Le recrutement de Steed MALBRANQUE entre dans le cadre de la longue indisponibilité d’ALONSO, blessé pendant l’intersaison. Enfin, il y a eu l’opportunité Stéphane RUFFIER.

Justement, pour quelle raisons avez-vous recruté Stéphane RUFFIER ?
Le recrutement d’un gardien n’était pas programmé. Ce fut une belle opportunité d’engager Stéphane qui était courtisé par plusieurs clubs étrangers. On a également pensé à l’avenir avec ce joueur de grande valeur, international qui n’a que 24 ans et une grosse personnalité indispensable à Saint-Etienne.

Plusieurs fois, l’ASSE a fait référence à une grille des salaires. Quel en est le principe ?
Nous avons mis en place une grille des salaires avec une part fixe de 60%, une autre variable de 40%. Nous ne dérogerons pas à cette règle. C’est, pour cette raison, que l’arrivée de Pierre-Alain FRAU n’a pu aboutir. Nous voulons un équilibre des salaires au sein du vestiaire. C’est dans cette même démarche, que nous proposons à un jeune qui signe son premier contrat pro, un salaire en adéquation avec sa progression. Tous les joueurs doivent être traités à égalité, en fonction de leur âge, leur expérience, leur talent et leur résultat.

Le départ d’Emmanuel Rivière était-il inéluctable ?
Nous avons beaucoup réfléchi. En principe, quand un jeune formé au centre fait partie de l’équipe première, il doit y rester sauf s’il n’a pas envie. Malheureusement, Manu a eu des velléités de départs. Nous avons trouvé des solutions en misant notamment sur Pierre-Emerick AUBAMEYANG. La vente de Manu RIVIERE nous a ensuite permis notamment d’engager Stéphane RUFFIER et Jean-Pascal MIGNOT.

Enfin, comment s’est déroulé le départ de Blaise MATUIDI ?
Blaise avait un bon de sortie. C’était très clair. Si lui et l’ASSE y trouvaient leur compte, on ne s’opposerait pas délibérément à son départ. Dans la vie, il faut bien se comporter. Depuis quatre saisons, Blaise a toujours été performant sous le maillot vert. Il a rempli son contrat. L’ASSE ne pouvait bloquer un garçon qui avait toujours été respectueux des valeurs.

Avez-vous bien vendu vos joueurs ?
Oui. Ils ont été très bien vendus. Il faut tenir compte de l’état actuel du marché. Beaucoup de clubs ont des difficultés et doivent se préparer à la prochaine entrée en vigueur du fair-play financier. D’ailleurs, les ventes de Kevin Gameiro et Gervinho ne se sont pas envolées. Il suffit de regarder du côté de Lyon pour comprendre la situation du marché.

Comment gérez-vous les cas des joueurs indésirables ?
Pour nous, cela représente la plus grande difficulté de cet été. Ce sont des cas épineux car ce sont de gros salaires. C’est donc un coût énorme pour le club. On travaille pour leur trouver des portes de sortie. Je suis, d’ailleurs, un peu déçu par l’état d’esprit affiché par Boubacar SANOGO. Refuser un club au standing européen comme le Celtic Glasgow, cela ne dénote pas une grande motivation et de grandes ambitions de sa part.

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L'avenir

Dominique, comment voyez-vous l’ASSE dans les prochaines saisons ?
L’ASSE doit mener une vraie politique de club. Je travaille sur un projet d’avenir. Il doit entraîner la réussite du club. Notre modèle, c’est Lille. L’ASSE d’aujourd’hui, doit travailler comme l’a fait le LOSC.

Quelles sont les grandes lignes de ce projet de club ?
Nous n’avons pas les moyens financiers des plus grands clubs. Il faut donc réfléchir à d’autres solutions. Il faut s’appuyer sur les valeurs qui ont fait la renommée de l’ASSE : la solidarité entre les hommes. L’état d’esprit dans le club fera toujours la différence. On veut rester un club convivial, familial. C’est grâce à ces valeurs qu’on a autant de supporters dans toute la France. Il faut les préserver. Parmi les projets, le rachat du centre de l’Etrat est à l’étude. On a un bel outil que l’on veut encore moderniser. Ce n’est pas normal qu’un grand club comme l’ASSE ne soit pas propriétaire de ses propres infrastructures. Une partie de la vente des joueurs sera, d’ailleurs, utilisée à cet effet.

Quelle importance accordez-vous à la politique de formation ?
Nous sommes tous sur la même longueur d’onde : l’ASSE doit être un club référence au niveau de la formation. C’est primordial que nos jeunes deviennent ensuite les futurs pros de l’équipe première. L’identification au club sera toujours plus forte chez un pro formé chez nous qu’à l’extérieur. Chaque saison, notre centre forme des jeunes pros qui intègrent l’équipe première. Nous avons également atteint la finale de la Coupe Gambardella, la saison dernière. C’est bien. Mais, nous devons être encore et encore plus performants. Nous devons être hyper compétitifs et beaucoup plus sélectifs. C’est pour cette raison que nous avons supprimé l’équipe des U17 régionaux afin de se concentrer sur un groupe élargi U17 nationaux. Il y a encore un gros travail à effectuer au niveau de l’école de foot (9-10 ans) en lui donnant des bases encore plus professionnelles.

Quelles sont les orientations du recrutement chez les jeunes ?
Nous devons être hyper sélectifs. Au niveau régional, nous devons recruter les meilleurs jeunes dès le plus jeune âge. Cela passe par le renforcement des clubs partenaires locaux. Mais, on ne peut pas se cantonner à la région. J’ai également le projet de mettre en place un partenariat avec un club parisien formateur car le bassin de l’Ile de France représente un très riche vivier. Cela permettrait également d’organiser des détections sur place. Au niveau national, nous devons également repérer les meilleurs jeunes à l’âge de 13 ans, travaillé en collaboration avec les pôles. Ces jeunes doivent continuer leur formation dans leurs clubs respectifs avant de venir nous rejoindre. Enfin, le recrutement en post-formation doit être également encouragé afin de recruter des jeunes de 19-20-21 ans, qui évoluent en Ligue 2 ou en National. Nous l’avons fait, cette saison, en recrutant plusieurs jeunes issus du GF 38.

Quels sont les objectifs fixés cette saison ?
Faire mieux que la saison dernière. Pour cela, on a besoin d’un groupe motivé et doté d’un super état d’esprit. On veut travailler sur la durée avec Christophe GALTIER. La progression des jeunes est également un objectif important. L’ASSE est un grand club avec un grand passé. Elle se doit d’être ambitieuse. En menant un vrai projet de club, on pourra rivaliser avec les meilleurs. L’ambition suprême, c’est de redevenir un club européen.